Tu publies sur LinkedIn mais tu as l’impression que personne ne te lit ? Peu de vues, peu de réactions, encore moins de prospects ? Ce n’est pas une question d’algorithme, c’est une question de structure, de valeur… et de régularité.
Voici une méthode claire pour créer des posts LinkedIn qui accrochent, engagent et convertissent.
Commence par une seule question : à qui tu parles ?
Avant d’écrire quoi que ce soit sur LinkedIn, pose-toi une question simple. Pas “à qui s’adresse ce contenu ?” au sens marketing classique. Mais à qui tu parles, là, maintenant, concrètement ? Pas un persona figé dans un tableau excel. Pas “Paul, 38 ans, directeur commercial à Lyon, passionné de sport et de CRM.” Ça, c’est utile pour faire des présentations PowerPoint. Mais pour écrire un post qui fait tilt ? Ce n’est pas suffisant.
Ce qu’il te faut, c’est une vraie lecture du moment : du contexte, du comportement, de l’état d’esprit de la personne qui pourrait lire ton post aujourd’hui, à 9h42, en scrollant entre deux calls. Tu ne parles pas à une cible, tu parles à un être humain. Et pour l’atteindre, il faut affiner ton radar.
C’est là que le profiling entre en jeu. Le vrai. Celui qui te pousse à observer, écouter, capter des signaux faibles. Quel type de contenu ta communauté like ou commente ? Quelles tournures elle utilise quand elle s’exprime ? Qu’est-ce qui la fait réagir, décrocher, cliquer ? Ce n’est pas une science exacte, mais c’est une posture d’écoute active.
Parce que tout se joue là : si tu ne sais pas dans quelle humeur est la personne qui te lit, ni ce qui occupe son esprit à cet instant… tu risques de rater ta cible. Même avec un bon message.
Et inversement, quand tu maîtrises cette lecture fine du terrain, tout devient plus évident : Tu choisis le bon sujet, tu adoptes le bon ton, tu utilises les bons mots.
Ton post ne parle plus dans le vide, il vient toucher quelque chose de personnel, de réel. Et c’est là que l’attention se crée.
Le profiling, ce n’est pas deviner l’âge ou le poste LinkedIn d’un lecteur. C’est capter ses préoccupations du moment, son niveau de maturité sur un sujet, ses attentes implicites. C’est choisir d’écrire un post sur le SEO non pas parce que c’est ta spécialité, mais parce que tu sais que ta cible vient de lire trois contenus sur l’IA générative… et qu’elle se sent complètement larguée.
Tu vois la nuance ? Et si tu veux affiner encore plus cette lecture, le meilleur réflexe, c’est de revenir à tes contenus passés. Observer ce qui a fonctionné, qui a réagi, pourquoi ça a pris. C’est là que tu vas comprendre ce qui résonne.
Et justement : RedactAI peut t’y aider. L’outil te permet d’analyser rapidement les posts qui ont généré le plus d'engagement, de détecter les signaux faibles… et de recycler intelligemment les angles qui ont déjà fait mouche.
Choisis le format qui sert ton message (pas juste celui qui “marche”)
On te l’a sûrement déjà dit : “Fais des carrousels, ça marche mieux.” Ou bien : “Fais des vidéos, l’algorithme adore.” Mais la vraie question, ce n’est pas ce qui marche en général. C’est : qu’est-ce qui marche pour ton message, pour ton audience, aujourd’hui ? Parce qu’il n’y a pas de format magique. Il y a juste le bon format au bon moment, pour le bon message.
Tu veux partager une astuce ultra simple à appliquer tout de suite ? Un texte clair, bien structuré, fera parfaitement le job. Pas besoin de fioritures.
Tu veux expliquer une méthode en plusieurs étapes, avec une montée en puissance ? Pense carrousel. Tu peux embarquer ton lecteur dans un mini-parcours qui donne envie de swiper jusqu’à la fin.
Tu veux transmettre un déclic, un retour d’expérience perso, une prise de conscience ? Rien ne vaut un bon storytelling. Une narration sincère, sans filtre, avec juste ce qu’il faut de vulnérabilité et de recul pour que la personne en face se dise : “Ok, je me reconnais là-dedans.”
Et parfois, ce n’est pas le fond qui bloque… c’est la forme qui fatigue. Tu veux dire quelque chose de pertinent, mais tu choisis un format qui n’est pas adapté à l’attention du moment. Résultat : ton post passe à côté. Littéralement scrollé.
Alors prends un instant avant de publier et demande-toi :
- Est-ce que ce contenu mérite d’être raconté visuellement ?
- Est-ce que c’est une info “one-shot” ou une idée à dérouler ?
- Est-ce que ce que je veux transmettre est plus fort avec ma voix, mon image, ou mes mots ?
Et surtout, ne reste pas figé dans un seul format “parce que ça a marché une fois”.
Ce qui engage, c’est aussi la variété. Tu montres que tu maîtrises ton sujet, mais aussi que tu sais t’adapter à la manière dont les gens consomment l’info.
Tu n’écris pas pour toi. Tu écris pour être lu, compris, retenu. Et pour ça, le choix du format, c’est une arme redoutable à condition de ne pas la dégainer au hasard.
Si tu veux aller encore plus loin, RedactAI peut t’aider à repérer les formats qui fonctionnent le mieux selon ton audience, ton sujet, ton objectif. Notre solution de rédaction des posts LinkedIn t’analyse tout ça en quelques secondes, pour que tu n’aies plus à poster au feeling. Tu gagnes du temps, tu gagnes en impact, et tu publies de façon stratégique sans y passer la journée.
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Structure ton post comme une conversation (pas comme un exposé)
Tu n’as que quelques secondes pour capter l’attention. Ton lecteur est en train de scroller entre deux notifications, un café tiède à la main. Donc si ton post ressemble à une dissertation molle ou à un pavé sans rythme, il ne passera pas la ligne d’arrivée.
La clé, c’est de structurer ton contenu comme une conversation naturelle, avec une idée forte et un vrai flow. Pas besoin d’en faire trop. Il suffit d’avoir une intention claire, et de savoir conduire le regard.
Voici une trame qui fonctionne à tous les coups :
1. Une accroche qui arrête le scroll
Tu peux écrire le meilleur post du monde… Si les deux premières lignes n’accrochent pas, personne ne lira la suite. C’est dur, mais c’est la réalité du scroll.
L’accroche, c’est ta porte d’entrée. Celle qui donne envie de s’arrêter, de respirer, de lire. Tu dois créer une rupture. Une tension. Une surprise. Tu veux qu’on se dise : “Attends, quoi ?” ou “Ça me parle trop, ça.”
Voici quelques mécaniques qui marchent très bien :
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Une question qui pique (Tu sais pourquoi personne ne lit tes posts ?)
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Une vérité qui dérange (Ton contenu plaît. Mais il ne convertit pas.)
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Une promesse implicite (Voici ce que j’ai changé pour doubler mes leads avec les mêmes posts.)
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Une phrase qui casse les codes (100 likes ne veulent rien dire. Et je vais te le prouver.)
Exemple d’accroche qui fait mouche : “Et si ton contenu ne servait à rien (même avec 100 likes) ?”
Tu veux aller encore plus loin et styliser ton accroche pour qu’elle se détache visuellement ?
On t’a préparé un guide complet : Comment écrire en gras sur LinkedIn ?
2. Un problème que ton audience connaît (et ressent)
Rentre dans le dur. Parle d’un frein, d’un doute, d’une frustration. Pas besoin d’en faire un drame, mais montre que tu comprends ce que vit ton lecteur. C’est comme ça que tu crées la connexion.
Le bon angle, c’est rarement “voici pourquoi c’est important”. C’est “voici pourquoi ça coince pour toi en ce moment.”
3. Ta vision ou ta solution (mais pas une leçon)
Propose un point de vue. Raconte ce que tu fais différemment. Partage un conseil que tu as testé, pas une vérité absolue. L’objectif, ce n’est pas d’impressionner. C’est d’aider, de faire gagner du temps, ou de créer un déclic.
Les posts qui fonctionnent le mieux sont souvent ceux où tu dis : “Voici ce que j’ai essayé. Voici ce qui a marché. À toi de tester.”
4. Une conclusion qui donne envie d’échanger
Pose une question simple. Invite au partage d’expérience. Lance un débat. Ce n’est pas la fin du post. C’est le début de la conversation.
“Tu vois ça autrement ? Dis-le-moi.”
“T’as déjà vécu ça toi aussi ?”
“Je suis curieuse de savoir ce que t’en penses.”
Tu n’as pas besoin de tout dire. Tu as besoin de dire l’essentiel, au bon moment, avec le bon ton.
Utilise les bons mots-clés
On l’oublie souvent, mais LinkedIn est aussi un moteur de recherche. Tes posts ne vivent pas seulement dans le fil d’actu du jour : ils peuvent aussi être trouvés par recherche, par hashtag, ou via Google, si tu les structures bien.
La clé ? Glisser dans ton texte des mots-clés pertinents mais sans que ça se voie.
Tu n’écris pas une fiche produit. Tu écris pour un humain. Et les bons mots, ce sont ceux que ton audience utilise vraiment dans ses recherches, ses messages, ses conversations.
Pas besoin d’en faire des tonnes. Quelques expressions bien placées dans ton accroche, dans le corps de ton post, et à la fin dans les hashtags… ça suffit largement à améliorer ta visibilité sans flinguer la fluidité.
Et surtout : évite le jargon. Ce n’est pas parce que tu parles de “lead nurturing omnicanal” que tu vas gagner en crédibilité. Souvent, plus tu simplifies, plus tu touches juste.
Côté hashtags, même combat : inutile d’en coller 15 à la fin du post. Trois à cinq, bien ciblés, c’est largement suffisant. L’idée, c’est d’apparaître là où ça compte, pas d’être partout pour personne.
Analyse, ajuste, et recommence intelligemment
Tu n’as pas besoin de poster tous les jours pour exister sur LinkedIn. Tu as besoin de poster mieux. Et pour ça, il faut faire ce que très peu de gens font vraiment : prendre le temps d’analyser.
Regarde ce qui a fonctionné. Pas juste en termes de likes ou de vues, mais en engagement réel : Qu’est-ce qui a déclenché des commentaires ? Des partages ? Des messages privés ? Quel ton tu avais utilisé ? Quelle structure ? Quel angle ?
Il y a toujours un pattern derrière un bon post. Et quand tu le repères, tu peux le répliquer, adapter, affiner. Pas pour faire du copier-coller, mais pour capitaliser sur ce que ton audience aime déjà lire venant de toi.
Tu peux recycler un post sous un autre format, transformer une idée forte en série de publications, ou creuser un sujet qui a suscité un vrai débat.
Et c’est là que RedactAI devient ton allié. L’outil te montre, chiffres à l’appui, les contenus qui ont le plus performé. Mais surtout, il t’aide à comprendre pourquoi ça a marché et à en faire une base solide pour la suite, sans tourner en rond.
Parce que créer du contenu qui engage, ce n’est pas un coup de chance. C’est une boucle : observer, apprendre, améliorer, recycler. Et recommencer avec un cran d’avance.
Ce qu’il faut retenir
Un post LinkedIn engageant, ce n’est pas une formule magique. C’est une combinaison d’éléments simples, mais puissants, quand ils sont bien alignés.
Tu parles à une personne précise. Tu captes son attention dès les premiers mots.
Tu partages une idée qui a de la valeur pour elle. Tu choisis un format qui sert ton message, pas ton ego. Tu restes toi-même dans le ton, tout en structurant ton propos. Et tu ouvres une porte, pas un monologue.
Avec cette approche, chaque post devient plus qu’une publication. Il devient un levier. Pour être vu, compris, et choisi. Pas pour les likes. Pour les vraies conversations. Celles qui créent des connexions, des clients, des opportunités.
Et si tu veux aller plus vite, sans perdre en qualité, RedactAI est là pour ça. Tu récupères tes meilleurs posts, tu les analyses, tu les réinventes… sans repartir de zéro à chaque fois. Bref, tu gagnes du temps et tu gagnes en impact.
Foire aux questions (que tu t’es sûrement déjà posées)
1- Est-ce qu’il faut vraiment publier souvent pour performer ?
Pas forcément. Ce qui compte, ce n’est pas la fréquence, c’est la régularité et la pertinence. Un post par semaine bien ciblé, structuré et réfléchi aura bien plus d’impact que 5 posts brouillons publiés dans la panique.
2- Quel est le meilleur moment pour poster ?
Il n’y a pas de vérité universelle. Mais entre 8h et 10h (avant les réunions) ou vers 12h30 (pendant les pauses dej), tu as plus de chances de capter l’attention.
Le plus important, c’est d’observer quand TON audience interagit, pas celle des autres.
3- Combien de hashtags faut-il mettre ?
3 à 5, maximum. Et choisis-les bien. Un mix entre un mot-clé large (#marketingdigital), un mot-clé de niche (#growthb2b) et un tag personnel (#redactai par exemple) fonctionne très bien. Le but, ce n’est pas d’en mettre partout, mais d’être trouvable là où ça compte.
4- Est-ce qu’un bon post doit forcément être long ?
Non. Il doit être clair, rythmé, et dire quelque chose d’utile. Un post court mais percutant peut générer autant, voire plus d’engagement qu’un long texte. C’est la qualité de l’idée (et la manière de l’amener) qui fait la différence.
5- Comment savoir ce qui a marché ou pas ?
Ne te limite pas aux likes. Regarde les commentaires, les messages privés, les partages. Et surtout, pose-toi ces questions :
- Est-ce que ce post a lancé une vraie conversation ?
- Est-ce qu’il a fait réagir mes prospects, mes pairs ou mes clients idéaux ?
- Est-ce qu’il a amené des visites sur mon profil, ou des prises de contact ?